“NOUVELLE ÉPIDÉMIE” : LE POUVOIR NOUS ANNONCE LA TERRIBLE ARRIVÉE DU “FRANKENSTEIN”… | GPTV
Description
Le 5 octobre 2025 à 12h30, Mike Borowski vous proposait de le rejoindre pour une émission sur un sujet explosif d’actualité, en direct sur Géopolitique Profonde.
Frankenstein et la peur recyclée
Le pouvoir recycle la panique en rebaptisant un sous-variant Omicron du surnom accrocheur « Frankenstein ». Ce terme sert à relancer la peur, justifier une nouvelle « vague » et réactiver les anciens réflexes de soumission. Cette créature n’a rien de sanitaire : propagation attendue, gravité stable, vocabulaire alarmiste. Le but : replacer la pandémie au cœur du récit, justifier les contrôles, enterrer les échecs passés.
La France a besoin d’un État adulte, transparent, focalisé sur la protection ciblée des vulnérables et la liberté du plus grand nombre. « Frankenstein » est un outil politique, pas une urgence sanitaire.
Un symbole médiatique, pas un risque réel
Le surnom transforme une recombinaison banale en épouvantail politique. La stratégie est rodée : nom choc, courbes décontextualisées, témoignages alarmants. Résultat : l’appareil médiatico-administratif redevient central. Cliniquement, rien ne justifie cet emballement. Le pouvoir confond volontairement circulation virale et dangerosité pour justifier son agenda.
La réponse souverainiste refuse cette confusion : pas d’état d’exception permanent, ni de chantage social. Les dégâts collatéraux des politiques passées — retards de soins, fracture civique, économie affaiblie — exigent une ligne claire : proportion et refus du sensationnalisme.
La mécanique des vagues
Parler de « 15e vague » relève du marketing. Les méthodes de comptage changent selon les critères, sans référence scientifique stable. Cette plasticité permet aux gouvernants d’utiliser la « vague » qui arrange. La souveraineté exige des seuils clairs, des indicateurs fixes et des décisions fondées sur des faits, pas sur des effets d’annonce.
Retour des automatismes et mémoire sélective
En 2021–2022, le pass sanitaire et vaccinal a instauré une ségrégation inédite. En 2023, les personnels suspendus ont été réintégrés sans excuses ni bilan. Ce cycle révèle une logique : contrainte rapide, retrait silencieux, dégâts durables. Aujourd’hui, les promoteurs de « Frankenstein » veulent réinstaller QR codes, injonctions morales et discriminations sous prétexte de santé.
Opacité européenne et scandale des contrats
L’UE a négocié des contrats massifs dans l’opacité, exigeant des États qu’ils paient sans poser de questions. Cela a enrichi des fournisseurs, déresponsabilisé les décideurs et contourné le contrôle démocratique. La souveraineté budgétaire impose des audits, la publication intégrale des contrats et une recentration sur l’intérêt général.
Ce que prépare le pouvoir
Le récit du pouvoir repose sur deux piliers : guerre et pandémie. Après la séquence ukrainienne, le virus revient par la porte « Frankenstein ». Méthode identique : surnom choc, vagues, témoignages calibrés, puis injonctions. Mais la réalité ne justifie aucune panique. On confond surveillance épidémiologique et état d’exception pour maintenir le contrôle émotionnel.
La ligne souverainiste est claire : pas de QR social, pas de chantage, pas de retour des absurdités. Un pays adulte protège ses vulnérables, respecte les libertés, refuse de vivre sous sirène permanente.
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